Imprévisible et fragile, la jouissance féminine est plus mystérieuse que celle de l’homme. Moins « mécanique », elle est soumise à de nombreux paramètres émotionnels qui peuvent la bloquer. Nous attarderons aujourd’hui sur le clitoris et le vagin comme sources d’orgasmes.
Elle est clitoridienne
le clitoris est à la femme ce que le pénis est à l’homme. de ce fait, c’est l’organe du plaisir féminin par défaut, autant dire que la majorité des femmes sont d’emblée clitoridiennes. Si le clitoris est un organe de plaisir c’est parce qu’il est pourvu de milliers de corpuscules de volupté, dits de Krause, spécialisés dans l’élaboration du plaisir sexuel tout come le pénis. Chez les femmes clitoridiennes, l’orgasme est généralement plus rapide à venir, relativement court, aigu, plus en surface que le plaisir vaginal. Certaines femmes ressentent des pulsations au niveau du clitoris lors de son orgasme. Il peut être atteint sans pénétration vaginale et donc par stimulation du clitoris.
Elle est vaginale
Le vagin ne devient un organe de plaisir qu’après de longues années. Ce n’est qu’en s’explorant qu’une femme femme peut découvrir son côté vaginal en parlant de l’orgasme. en général, elles le découvrent passivement dans la quarantaine passée sauf pour les curieuses qui ont expérimenté la masturbation. Le vagin est doté de tissu érectiles et de capteurs sensitifs qui peuvent donc se comporter comme le point G. L’orgasme vaginal est plus long à venir contrairement à l’orgasme clitoridien. Plus prolongé, plus diffus, plus global et plus profond aussi. Il peut irradier tout le corps. Il ne peut être atteint que par pénétration (du pénis, des doigts, d’accessoires dédiés comme les sextoys (boules de geisha, vibromasseurs…)).
Source : Journal des Femmes
Adam's Zambou
Chercheur en Phytopathologie-phytopharmacie, cinéphile, passionné de musique, d'animés, et de technologies.
